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Candidature spontanée : comment faire la différence ?

EDHEC dans la presse

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24/10/2005

La Société Générale a reçu en 2004 35.000 candidatures spontanées, sur 250.000 CV. Chez Danone, 20% des 40.000 candidatures annuelles pour des postes de cadres sont spontanées. Ces chiffres sont impressionnants, mais comment faire la différence ? Le Figaro Entreprises & Emploi répond en donnant «six astuces pour sortir du lot». On retiendra tout particulièrement la première de ces astuces, qui est qu'il faut faire une offre ciblée, en ayant bien à l'esprit qu'il faut rédiger sa candidature non pas comme une demande, mais comme une proposition dynamique. C'est la raison pour laquelle on aura tout intérêt à adresser sa candidature à une entreprise qui connaît un tournant stratégique, ou qui s'apprête à créer une nouvelle branche etc.. D'ailleurs, une candidature spontanée peut être acceptée parce qu'elle répond à un besoin de l'entreprise, mais elle peut aussi entraîner la création d'un poste. «Si une candidature spontanée émane d'un expert confirmé, il nous arrive de créer un poste», affirment Maya Giraud et Astrid Jeglot, conseillères en recrutement de la Société Générale.

(Le Figaro Entreprises & Emploi, pp1-2, Emeric Carré, 10/10/2005)

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