Financement de l'enseignement supérieur : les limites de l’impôt sur le revenu
La réforme du mode de financement de l’enseignement supérieur nécessaire pour dégager les six milliards d’euros évoqués par le rapport Le Déaut est une question sensible dès lors que l’on aborde la question de l’augmentation des droits d’inscription.
Pour certains commentateurs, la gratuité absolue de l’accès à l’enseignement supérieur constitue la meilleure politique, dès lors que l’impôt sur le revenu (instrument fiscal progressif) en assure le financement. Il nous semble que cette position, à première vue républicaine et généreuse, n’en a que l’apparence. Plusieurs raisons à cela. [...]
Lire la suite de cet article de Pierre Courtioux, Chercheur au Pôle économie EDHEC Business School, sur le site LesEchos.fr.
Commentaires0
Vous n'avez pas les droits pour lire ou ajouter un commentaire.
Articles suggérés